
Les efforts du Maroc dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) continuent à décrocher les marques de reconnaissance. La dernière en date est l’avancement du pays dans le classement mondial des technologies de l’information et de la communication (TIC) en 2013. En effet, le Royaume a gagné deux places, pointant désormais à la 89e position, selon le rapport du Forum économique mondial (FEM) sur les évolutions réalisées par les pays en matière de technologies de l’information.
Cette performance est due, d’après les auteurs de ce rapport, aux évolutions remarquables enregistrées en 2011 au niveau des indicateurs «télécoms» du Networked Readiness Index (NRI), précise le FEM dans son rapport intitulé «Croissance et emploi dans un monde hyper-connecté». L’analyse de ce classement fait ressortir des progressions plus importantes dans certains créneaux de ce secteur. Il en est ainsi du pilier «affordability» qui mesure le fait que les TIC soient abordables, où le Maroc a réalisé une percée, en passant de la 77e position en 2012, à la 30e en 2013. Ce pilier comprend notamment trois indicateurs : les tarifs de la téléphonie mobile, les tarifs du haut débit fixe et le niveau de compétition dans les marchés de l’Internet et de la téléphonie.
Et c’est le marché mobile qui s’est le plus démarqué, avec la baisse des tarifs de la téléphonie mobile observée en 2011, permettant au Maroc de gagner 45 places. En fait, le Royaume est passé du 135e au 90e rang. De même, le Maroc est très bien classé en termes de l’indicateur relatif aux tarifs du haut débit fixe, se plaçant à la 23e position en 2013.
S’agissant du niveau de compétition de l’Internet et de la téléphonie, le Maroc s’est tout bonnement classé 1er, avec 57 autres pays.
La progression du Maroc dans le classement TIC est également due à la hausse du nombre des abonnements, ce qui propulse le pays de la 74e place dans l’édition 2012 à la 56e place en 2013, par rapport à cet indicateur,
En ce qui concerne la couverture de la population par les réseaux mobiles, le Maroc est désormais 51e et figure parmi les 50 premiers pays au niveau de l’utilisation des réseaux sociaux.Par ailleurs, l’enquête annuelle de collecte des indicateurs TIC auprès des ménages et des individus réalisée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), fait état d’une nette progression du taux d’équipement des ménages et des individus entre l’année 2009 et 2011. Ainsi, 87% des individus de 12 à 65 ans sont équipés en mobile en 2011, 35% des foyers sont équipés en fixe et en accès Internet et 39% des foyers possèdent au moins un ordinateur.
De même, la pénétration de la téléphonie mobile chez les individus s’est accrue de 4 points par rapport à 2010. Cette évolution s’explique, d’après l’Anrt, par la concurrence accrue sur ce marché, la tendance baissière des prix des communications et l’apparition de nouveaux usages liés à l’Internet mobile. Ce qui a eu un impact positif sur le taux d’équipement des ménages et des individus en téléphonie mobile en favorisant le multi-équipement et le changement d’opérateur, relève l’enquête.
En effet, précise-t-on, 17% des individus sont multi-équipés avec pour principale raison la volonté d’optimiser leur facture téléphonique totale en profitant d’offres promotionnelles (82% des interviewés) et bénéficiant des meilleurs tarifs de chaque ligne (80% des interviewés).
Les indicateurs mesurés par le classement
Le rapport du Forum économique mondial, publié en partenariat avec l’Institut européen d’administration des affaires (INSEAD), classe cette année 144 économies sur la base du NRI qui calcule la capacité d’un pays à exploiter les opportunités offertes par les TIC, en prenant en compte l’environnement politique et réglementaire, le degré de préparation en termes d’infrastructure, d’affordability (qui mesure le fait que les TIC soient abordables) et de compétences, l’usage des TIC par les individus, les entreprises et le gouvernement, ainsi que les impacts économiques et sociaux des TIC.
Cette performance est due, d’après les auteurs de ce rapport, aux évolutions remarquables enregistrées en 2011 au niveau des indicateurs «télécoms» du Networked Readiness Index (NRI), précise le FEM dans son rapport intitulé «Croissance et emploi dans un monde hyper-connecté». L’analyse de ce classement fait ressortir des progressions plus importantes dans certains créneaux de ce secteur. Il en est ainsi du pilier «affordability» qui mesure le fait que les TIC soient abordables, où le Maroc a réalisé une percée, en passant de la 77e position en 2012, à la 30e en 2013. Ce pilier comprend notamment trois indicateurs : les tarifs de la téléphonie mobile, les tarifs du haut débit fixe et le niveau de compétition dans les marchés de l’Internet et de la téléphonie.
Et c’est le marché mobile qui s’est le plus démarqué, avec la baisse des tarifs de la téléphonie mobile observée en 2011, permettant au Maroc de gagner 45 places. En fait, le Royaume est passé du 135e au 90e rang. De même, le Maroc est très bien classé en termes de l’indicateur relatif aux tarifs du haut débit fixe, se plaçant à la 23e position en 2013.
S’agissant du niveau de compétition de l’Internet et de la téléphonie, le Maroc s’est tout bonnement classé 1er, avec 57 autres pays.
La progression du Maroc dans le classement TIC est également due à la hausse du nombre des abonnements, ce qui propulse le pays de la 74e place dans l’édition 2012 à la 56e place en 2013, par rapport à cet indicateur,
En ce qui concerne la couverture de la population par les réseaux mobiles, le Maroc est désormais 51e et figure parmi les 50 premiers pays au niveau de l’utilisation des réseaux sociaux.Par ailleurs, l’enquête annuelle de collecte des indicateurs TIC auprès des ménages et des individus réalisée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), fait état d’une nette progression du taux d’équipement des ménages et des individus entre l’année 2009 et 2011. Ainsi, 87% des individus de 12 à 65 ans sont équipés en mobile en 2011, 35% des foyers sont équipés en fixe et en accès Internet et 39% des foyers possèdent au moins un ordinateur.
De même, la pénétration de la téléphonie mobile chez les individus s’est accrue de 4 points par rapport à 2010. Cette évolution s’explique, d’après l’Anrt, par la concurrence accrue sur ce marché, la tendance baissière des prix des communications et l’apparition de nouveaux usages liés à l’Internet mobile. Ce qui a eu un impact positif sur le taux d’équipement des ménages et des individus en téléphonie mobile en favorisant le multi-équipement et le changement d’opérateur, relève l’enquête.
En effet, précise-t-on, 17% des individus sont multi-équipés avec pour principale raison la volonté d’optimiser leur facture téléphonique totale en profitant d’offres promotionnelles (82% des interviewés) et bénéficiant des meilleurs tarifs de chaque ligne (80% des interviewés).
Les indicateurs mesurés par le classement
Le rapport du Forum économique mondial, publié en partenariat avec l’Institut européen d’administration des affaires (INSEAD), classe cette année 144 économies sur la base du NRI qui calcule la capacité d’un pays à exploiter les opportunités offertes par les TIC, en prenant en compte l’environnement politique et réglementaire, le degré de préparation en termes d’infrastructure, d’affordability (qui mesure le fait que les TIC soient abordables) et de compétences, l’usage des TIC par les individus, les entreprises et le gouvernement, ainsi que les impacts économiques et sociaux des TIC.
- L’équipement informatique des ménages a connu une évolution importante en passant de 11% en 2004 à 27% en 2008, puis à 34% en 2010 et à 39% en 2011 avec un parc estimé à 3 547 000 ordinateurs en 2011 (contre 3 134 000 en 2010 et 2 930 000 en 2009).
- Le parc des ordinateurs portables prend de plus en plus de l’importance (56% du parc global) et le multi-équipement devient un phénomène marquant avec 28% des foyers équipés de deux ordinateurs ou plus.
- Le principal frein à l’achat d’un ordinateur en 2011 n’est plus le prix trop élevé, mais le manque de besoin. Principal facteur de non-équipement en 2010, le facteur prix est désormais en 2e position et a perdu 14 points.