
Pour que Casablanca devienne une ville numérique connectée, les établissements publics, la Wilaya du grand Casablanca, les opérateurs TIC, les universités et écoles, les chambres de commerce, les associations, fédérations et les entreprises sont tous appelés à fédérer en commun leurs efforts.
Alors, ville connectée, quelles sont les valeurs ajoutées, les modèles des villes mondiales à suivre et les défis pour les villes telles que Casablanca ? Tels sont les trois axes majeurs autour desquels s'est articulée une conférence tenue mercredi 25 avril 2007, au siège de la Wilaya du Grand Casablanca.
Cette manifestation s'inscrit dans le cadre des recommandations préconisées lors des différentes réunions, notamment celle du 8 février 2007, portant sur le même sujet et visant à placer la ville de Casablanca au rang des villes mondiales connectées.
Organisée par la Wilaya du grand Casablanca, en partenariat avec l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), cette conférence a été animée par Jean Claude Beauchemin, ingénieur centralien, DEA d'automatique, Institut d'administration des Entreprises et auditeur libre de l'IHEDN (Institut des hautes études de défense nationale), directeur régional des télécommunications, expert international et directeur à l'ARCEP, autorité de Régulation des communications électroniques et des postes de France. Au cours de cette rencontre, le conférencier (élu de 1983 à 1995) et adjoint à Chaban Delmas et à la communauté urbaine pour développer les nouvelles technologies de communication et diriger la mise en place du réseau câblé de l'agglomération bordelaise, n'a pas manqué de rappeler les décisions prises au cours des différentes réunions. Il s'agit de la constitution d'un cahier de charges fixant les droits et obligations des opérateurs surtout par rapport à la préservation de la qualité des espaces de la ville en cas de creusement et la préparation des termes de référence d'une étude sur l'architecture cible du Grand Casablanca financée par les opérateurs de télécommunication.
En outre, les conférences et les rencontres publiques jouent un rôle primordial dans la concrétisation de cet objectif. Une raison pour laquelle, on entend organisr une ou deux conférences sur les diverses expériences mondiales des villes connectées dans le monde tout en assurant la préparation des supports de communication pour la sensibilisation sur la sécurité informatique, la cybercriminalité et la moralisation des accès Internet.
D'autre part, s'agissant des mesures convenues et l'état d'avancement, l'ingénieur a cité l'élaboration d'un cahier de charges type sur le règlement se rapportant à l'occupation du domaine public communal par les opérateurs de télécommunication. Dans la même optique, les services du conseil de la ville ont présenté un projet de document que l'ANRT s'est chargée de modifier tandis qu'un examen en cours du document modifié est initié par l'équipe de travail.
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Alors, ville connectée, quelles sont les valeurs ajoutées, les modèles des villes mondiales à suivre et les défis pour les villes telles que Casablanca ? Tels sont les trois axes majeurs autour desquels s'est articulée une conférence tenue mercredi 25 avril 2007, au siège de la Wilaya du Grand Casablanca.
Cette manifestation s'inscrit dans le cadre des recommandations préconisées lors des différentes réunions, notamment celle du 8 février 2007, portant sur le même sujet et visant à placer la ville de Casablanca au rang des villes mondiales connectées.
Organisée par la Wilaya du grand Casablanca, en partenariat avec l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), cette conférence a été animée par Jean Claude Beauchemin, ingénieur centralien, DEA d'automatique, Institut d'administration des Entreprises et auditeur libre de l'IHEDN (Institut des hautes études de défense nationale), directeur régional des télécommunications, expert international et directeur à l'ARCEP, autorité de Régulation des communications électroniques et des postes de France. Au cours de cette rencontre, le conférencier (élu de 1983 à 1995) et adjoint à Chaban Delmas et à la communauté urbaine pour développer les nouvelles technologies de communication et diriger la mise en place du réseau câblé de l'agglomération bordelaise, n'a pas manqué de rappeler les décisions prises au cours des différentes réunions. Il s'agit de la constitution d'un cahier de charges fixant les droits et obligations des opérateurs surtout par rapport à la préservation de la qualité des espaces de la ville en cas de creusement et la préparation des termes de référence d'une étude sur l'architecture cible du Grand Casablanca financée par les opérateurs de télécommunication.
En outre, les conférences et les rencontres publiques jouent un rôle primordial dans la concrétisation de cet objectif. Une raison pour laquelle, on entend organisr une ou deux conférences sur les diverses expériences mondiales des villes connectées dans le monde tout en assurant la préparation des supports de communication pour la sensibilisation sur la sécurité informatique, la cybercriminalité et la moralisation des accès Internet.
D'autre part, s'agissant des mesures convenues et l'état d'avancement, l'ingénieur a cité l'élaboration d'un cahier de charges type sur le règlement se rapportant à l'occupation du domaine public communal par les opérateurs de télécommunication. Dans la même optique, les services du conseil de la ville ont présenté un projet de document que l'ANRT s'est chargée de modifier tandis qu'un examen en cours du document modifié est initié par l'équipe de travail.
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